Introduction
Toute guérison semble demander un travail minutieux, de patience. Il nous semble que tomber malade se fait sans effort conscient. Il apparaît une fois de plus qu’il nous faut, plutôt que d’attendre d’avoir atteint notre objectif, apprécier le chemin. Etre ancré dans la conscience du moment présent pour en apprécier toute la richesse.
La guérison est un travail de mise en conscience, d’intégration.
On a demandé au Dalaï Lama : « Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? »
Il a répondu :
« Les hommes… parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé.
Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte, qu’ils finissent par non vivre ni le présent, ni le futur.
Ils vivent comme si ils n’allaient jamais mourir… Et meurent comme si ils n’avaient jamais vécu. »
Un autre Monde
Je vous offre ces articles, sous forme humoristique. Ils représentent quelques années de recherches qui m’auront permis de découvrir un autre monde. Celui des capacités incroyables qui se déploient en chacun de nous aujourd’hui. Celui des techniques qui ont été mises au profit de chacun, des chercheurs, des passionnés plutôt que de rester au niveau des initiés. Là où bien avant que la « science » ne valide leur découverte, certains se sont fait confiance et ont continué à avancer. Je m’incline devant chacun de ceux qui ont créé une nouvelle voie de guérison.
La guérison
Qu’en est il ? Ce n’est pas toujours celle que l’on croit. Il peut s’agit d’une guérison physique, d’une guérison des souffrances psychiques engrangées tout au long de cette vie. Pour guérir, il est nécessaire de disposer de réserves énergétiques suffisantes. La paix intérieure fait partie de la guérison à part entière.
La génétique
Aujourd’hui, Bruce Lipton, prix nobel pour ses travaux, prouve qu’en réalité il n’existe qu’un pour cent des maladies qui sont réellement génétiques. Est-il temps de sortir de ses fausses croyances qui sont : »mon père l’avait, donc il est normal que je l’ai aussi ». C’est comme ça, c’est dans la famille !
Non, ce n’est jamais comme cela. Il nous faut prendre la responsabilité de ce que nous souhaitons vivre.
Il apparaît très clairement, d’après Bruce Lipton, que la génétique n’est rien, que c’est l’environnement qui est tout.
Je vous bouscule un peu dès l’introduction.
Cela nous montre qu’en réalité TOUT est possible, et nous pouvons emprunter à chacun sa façon d’être, ses maladies, ses rythmes.
En sachant cela, nous pourrions enfin choisir le meilleur pour chacun de nous.
Ce qui revient à dire, qu’en chacun de nous, circule l’histoire de plus d’une personne, de toutes les personnes que l’on côtoie puisqu’elles font partie de notre environnement. A quel moment notre comportement nous appartient-il ?
Choix de notre parcours de vie
Continuons notre voyage, tel Indiana Jones à la recherche de l’Arche perdu. Il apparait que nous aurions choisi notre parcours de vie bien avant d’être là dans le ventre de maman. Ok, la science ne le prouve pas encore. Mais des pionniers, des traditions, des spécialistes en la matière nous montrent, nous expliquent cela.J’oubliais en choisissant le parcours, nous avons bien entendu choisi l’époque, l’environnement, les expériences de vie
Je sais, je sais là j’y vais un peu fort. C’est un peu trop pour vous. Peut être que l’envie d’arrêter la lecture de cet article vous prend… comme m’en a pris l’envie de fuir à toutes jambes celui ou celle qui m’en a parlé la première fois… je ne sais plus si c’était il ou elle tellement cela a été violent pour moi.
Ah non alors ! non seulement j’ai eu une vie difficile et en plus j’en suis responsable ? Ca c’est le pompon sur la Garonne, la cerise sur le chapeau… ou alors le bouquet !
Comment aurais-je pu choisir de vivre tous ces évènements ? Amenez ce xkxxkxkx qui seulement peut se permettre d’émettre une telle idée !! Qu’on amène le coupable !
Sa théorie est complètement impossible, car bien entendu il faudrait être plus que fou pour choisir des « expériences » de la sorte.
Notez bien : on dit « expérience » parce qu’il parait que ce n’est pas grave, en fait un mauvais moment à passer. Après la pluie le beau temps… Oui, mais dans la vraie vie l’expérience est quelque fois difficile à vivre et semble durer très longtemps.
Les cheveux « dressés » sur la tête, on peut le dire, j’ai rejeté toutes ces explications. Je me disais les fous ne sont pas tous enfermés.
Puis, petit à petit, après un travail minutieux, et du boulot il y en avait ! J’ai retravaillé mon histoire en profondeur. Et là, je découvre que le fou n’était peut être pas si fou que cela. Stupeur ! Moi qui aurait voté immédiatement pour son internement !
Je vous propose lors de mon prochain article, de découvrir l’entrée en scène d’Hubert à la poursuite de sa guérison.
Au plaisir de vous retrouver.